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« SI DES PROGRÈS SONT FAITS, J’AURAIS APPORTÉ MA PETITE PIERRE A L’ÉDIFICE »

Strasbourgeoise de 22 ans et étudiante en Muséologie à Mulhouse, Elise a participé à trois études cliniques chez Alyatec. Elle nous a fait part de ses impressions.

 

Bonjour Élise, pouvez-vous nous parler de vos allergies respiratoires ?

Je suis essentiellement allergique aux chats et aux acariens, à différents degrés. Je ne suis pas de traitement actuellement mais il y a quelques années j’ai essayé une désensibilisation qui n’a pas bien fonctionné. Ma réaction allergique se matérialise d’abord par une rhinite, puis par de l’asthme lorsque je reste longtemps au contact d’un allergène. Les premiers symptômes apparaissent au bout d’une quinzaine de minutes lorsque je suis dans une maison avec un chat par exemple. Cela peut rapidement devenir très handicapant !

Comment avez-vous eu connaissance des activités d’Alyatec ?

Je prenais un café à la cafétéria de la faculté de mathématiques à Strasbourg et j’ai vu votre annonce affichée. Je me suis vraiment reconnue dans le profil qui y était décrit et j’ai donc fait la démarche de contacter Alyatec.

Quelles ont été vos motivations à réaliser une étude clinique ?

J’étais surtout curieuse de participer au moins une fois dans ma vie à une étude clinique et de contribuer au développement d’une solution contre les allergies. Et je suis assez contente de me dire que si des progrès sont faits, j’aurais apporté ma petite pierre à l’édifice ! Je souhaitais également mieux connaitre mon profil allergique et les solutions qui pourraient m’être apportées pour en guérir : dans un premier temps par les conseils du médecin d’Alyatec vis-à-vis de mon mode de vie et dans un second temps en suivant un traitement vraiment efficace pour mon profil.

Aviez-vous déjà pris part à d’autres études ?

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Non, je n’avais jamais fait d’étude clinique auparavant.

Quelle est dorénavant votre opinion à ce propos ?

Dès le début j’ai été très rassurée par la notice d’informations d’Alyatec que je trouve très complète. Elle m’a été envoyée par mail avant que je vienne pour la journée d’exposition et du coup j’ai vraiment eu le temps de la lire. C’était bien détaillé : le déroulement de l’étude, les effets secondaires potentiels etc… Au début, ma famille avait un peu peur par rapport à ces essais mais s’agissant de ma 3ème étude à Alyatec, ils ont maintenant confiance dans la chambre d’exposition.

Pouvez-vous nous expliquer les étapes par lesquelles vous êtes passée pour être ici aujourd’hui ?

Après avoir vu l’annonce, j’ai appelé Alyatec et on m’a proposé une date pour rencontrer le médecin. Ensuite, je suis revenue pour effectuer un test de souffle et des tests cutanés afin de déterminer si mon profil correspondait aux besoins de l’étude. Il l’était et j’ai ainsi pu choisir ma journée d’exposition dans la chambre parmi deux dates qui m’ont été proposées. Tout cela n’a pris que quelques semaines.

Comment se déroulent une journée d’exposition dans la chambre ?

On dépose nos affaires en arrivant, on s’installe sur un fauteuil, puis on va voir le médecin qui nous examine pour vérifier que notre état de santé est stable et que l’on est apte à rentrer dans la salle d’exposition. Après l’autorisation du médecin, on se dirige vers le sas d’entrée de la chambre pour nettoyer les objets que l’on va y faire entrer et on s’habille avec une combinaison de protection à usage unique, qui permet à la fois de ne pas contaminer la chambre et de ne pas emporter des allergènes en dehors. Ensuite, on rentre dans la chambre pour être exposé aux allergènes, plus ou moins longtemps selon la manière dont on réagit. Une fois que l’exposition est terminée, on sort de la pièce et on est surveillé pendant 6 heures. Il y a même des échanges entre le médecin d’Alyatec et les volontaires jusqu’à 24 heures après l’exposition. Toute l’équipe est donc présente pour nous prendre en charge au moindre souci et pour s’assurer que notre état de santé soit stable. Durant les périodes d’exposition et de surveillance, on doit répondre à des questionnaires sur notre ressenti et faire des tests de spirométrie afin de suivre l’évolution de notre souffle.

Vos symptômes dans la chambre sont-ils comparables à ceux de l’environnement extérieur ?

La concentration d’allergène dans la chambre est contrôlée et comparable à celle que l’on retrouve dans l’environnement. Mes symptômes allergiques sont donc similaires à ceux de l’environnement extérieur, c’est le même processus qui s’opère. Ils apparaissent rapidement, en commençant d’abord par ceux du nez, suivis de l’asthme qui se développe petit à petit. Tout comme dans la vraie vie, ma rhinite peut se transformer en sinusite, mais uniquement avec les acariens, pas avec les allergènes de chats. J’ai été surprise de réagir différemment avec les deux types d’allergènes et cela est vraiment intéressant de le savoir.

 

« Alyatec permet aux volontaires de mieux connaitre leur profil allergique »

 

Quel est votre point de vue sur Alyatec ?

L’idée d’une chambre d’exposition est très intéressante ! Il s’agit d’un concept novateur qui permet à une entreprise cliente d’Alyatec de valider la qualité et l’efficacité de ses solutions contre les allergies respiratoires. Vos études permettent également aux volontaires de mieux connaitre leur profil allergique et d’améliorer leurs connaissances dans le domaine des allergies.
Les études que j’ai faites ici se sont toujours très bien déroulées. Tout le monde est flexible pour s’adapter aux disponibilités des volontaires. L’équipe est très agréable, on ne manque de rien et on est bien accompagné. Par contre, je ne suis pas très fan du traiteur à midi, mais c’est un détail !

Etes-vous prête à revenir pour une nouvelle étude ?

Oui, j’ai déjà effectué plusieurs études ! J’en parle autour de moi et je conseille vraiment de venir aux personnes qui possèdent un profil allergique similaire au mien. On me pose souvent des questions sur ces études car les gens sont intéressés lorsque je leur en parle. Je n’hésite donc pas à donner des informations et à solliciter les gens.